Au bord de la piscine

Mon Loulou et moi avons loué pour le week-end une maison avec piscine pour mieux profiter des joies de la vie en plein air. Avant de m’allonger sur le transat, je me passe un stick sur les lèvres, puis un peu de crème solaire parfumée. J’adore me dorer la pilule au soleil et là je vais pouvoir faire l’intégrale. Je te vois arriver en maillot de bain. Je te demande si tu peux me passer un peu de crème solaire. Tu t’assoies. Je mets une bonne noisette de crème dans ta main. Je m’allonge sur le ventre. « Vas y chou, mets moi en partout, comme tu sais si bien faire…. » dis-je en te lançant un clin d’oeil.
Tu commences à me masser le haut du dos, les épaules, les bras puis tu descends sur ma taille…Tu fais exprès de ne pas masser mes fesses car tu les sais très sensibles. Elles aiment être touchées. Dès qu’un homme passe la main sur mon petit cul bien ferme, ca me fait mouiller. Je sais que tu sais…. que je n’attends que ca. C’est pour ca que tu sautes mon cul, si je puis dire et que tu passes au haut de mes jambes, mes mollets et mes pieds.
J’adore quand tu me masses les pieds. Tu fais cela si bien. Ce que tu aimes quand tu me masses la voûte plantaire c’est positionner le dos de mon bien sur ton sexe à demi érigé. Tu t’en sers comme d’un reposoir. Le contact un peu abrupt de mon pied sur ta bite te fait de l’effet à chaque fois. D’ailleurs, souvent, comme maintenant tu masses mes pieds en même temps que tu masses ta bite et tes couilles avec mes pieds. Plus exactement, tu masses mes pieds avec ta queue. Le bout de ton gland que tu frottes sur ma voûte plantaire me rend dingue, mélange de chatouille et d’excitation. C’est insupportable et pourtant, j’en veux plus. Je sens le jus de ta bite lubrifier mon pied. Je la sens bien dure.
Je sens que tu veux me la mettre, hein ?
Puis, tu viens te mettre à hauteur de mes fesses pour les masser. Il n’y a personne. Autant enlever tout. Tu défais la ficelle de mon maillot de bain et libère mes fesses exposées aux rayons de ce soleil d’été et à tes mains aussi chaudes que ta queue que je sens bouillante de désir. J’aime savoir que tes couilles sont pleines. Que tu as envie de les faire gicler en moi. Je passe une main pour venir frôler ta queue qui fait gonfler ton maillot. Je la devine bien dure même si le tissu m’a empêché de la saisir. Elle sera pour moi bientôt, au fond de ma chatte et sans doute aussi, au fond de mon cul. Mais pour l’instant, continue ton massage, chéri…tu me fais du bien.
Tes mains montent doucement vers le haut de mes cuisses. Tu effleures le bas de mes fesses. Tu passes tes doigts à la lisière de ma fente. Tu la frôles. La chaleur de tes doigts se propage déjà vers ma chatte qui commence à gonfler de désir. Je sens mon clitoris se raidir bien que tu ne l’aies pas encore touché.
« Descends un peu ton maillot, Loulou. J’ai besoin de la toucher. »
Tu t’exécutes en le baissant légèrement mais juste suffisamment pour libérer seulement ta queue. Elle est déjà bien gonflée comme je l’aime. Ma main s’en saisie du bout des doigts et je commence à branler juste ton gland. Qui de nous deux va s’énerver le premier à ce petit jeu ?
Une pointe de jus perle au bout de ta queue. Je ramène ma main à ma bouche pour le porter à mes lèvres. J’aime ton jus, chéri… Tes mains se saisissent de mes fesses pour les badigeonner de crème. Mon petit cul se raidit sous leur emprise. Tu les recouvres d’huile solaire. Puis tu écartes un peu mes fesses pour lubrifier la raie de mon cul. Je n’y tiens plus. Tu vas jouer longtemps à ce petit jeu, mon salaud ? J’ai trop envie de ta queue déjà, mon chéri. OK tu veux jouer…pendant que tu continues à masser mon sillon, j’écarte mes deux fesses pour te donner à voir ma rondelle. Celle que tu aimes tant prendre. Tu le vois ce petit cul ? Il est pour toi. Tu vas pouvoir me la mettre. Mais pas toute de suite. Je sais que tu as déjà très envie si j’en juge par la grosseur de ta queue qui a doublé de volume. Et moi, excitée comme je suis, j’avoue que je me ferais bien enculer direct. Mais tu as décidé de jouer la montre.
Redonne ta queue. Mhhh…elle est dure. Ca, c’est une queue qui veut enfiler sa femme. Je parviens à te caresser tes bourses. Elles sont lourdes, présageant un copieux jet de foutre à venir. Je me demande combien de temps tu vas tenir. D’une main, tes doigts caressent désormais le bord de mes lèvres et effleurent mon clito. De l’autre main, tu presses de ton majeur sur mon anus pour commencer à l’attendrir. C’est le signe en général que tu as décidé de me sodomiser. Ca tombe bien : je ne demande que ca, que tu m’encules. Tu me doigtes la chatte et le petit trou plus intensément et je suis au bord de l’orgasme. Dans ces cas là, j’ai besoin de ta queue dans la bouche. Je te fais pivoter autour de moi pour porter ta queue à mes lèvres et je commence à te sucer. Mais c’est ta queue dans le cul que je veux. J’ai besoin d’être défoncée maintenant. Je me relève sur mes genoux puis allonge mes bras pour cambrer mes fesses vers le ciel. Je me mets en position pour que tu me baises.
Vas-y baise moi. Tu le vois ce cul ? Il est pour toi. Je veux que tu m’encules à fond jusqu’au couilles. Je veux que ta bite bien dure me transperce. J’écarte mes fesses. Tu pointes ta queue à l’orée de mon anus offert qui s’ouvre sous la pression de ton gland.
« Allez viens, encule moi, chéri…Maintenant ! »